Malgré avoir précisé que les préoccupations et demandes des officiers de l’armée étaient « légitimes », il n’avait pas encore donnée de précisions sur sa continuité au pouvoir. C’est donc, une semaine après la prise de pouvoir par les forces armées, que le président du Zimbabwe a finalement décidé de quitter son poste.
Dans les jours qui suivent, l’ancien vice-président Emmerson Mnangagwa sera nommé président de la République. Le fort appui de l’armée et sa popularité au sein de la population devraient être des éléments suffisants pour pouvoir assurer une transition politique pacifique dans un pays qui vient de vivre une semaine pleine d’incertitudes et d’instabilité.
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